Réponse
À
Bixi, blogue et bullshit [1]
Écrivais par Patrick Lagacé
Cette campagne vise à promouvoir le vélo et la création de location sur le nom de vélos BIXI de la ville de Montréal. 3 cyclistes ont été les pionniers dans la gestion de cette campagne sous des noms différents en répondant aux internautes.
C'est quelques extraits qui illustrent ce sujet :
« Le public a été trompé. Jamais on n'a dit aux lecteurs du blogue, aux 1300 membres de la page Facebook d'«À vélo citoyens», aux 1400 amis de «Mélanie Gomez», qu'ils participaient à un effort de marketing souterrain
- C'est de la manipulation, ça, non?
- Le mot est gros...
- Et ces trois «personnes», qui interagissaient avec les internautes?
- C'est, dit M. Philibert, une façon de rejoindre les gens.
- Mais c'est un mensonge, ils n'existent pas!
- Si on avait fait un blogue hébergé par Stationnement de Montréal, personne n'aurait été intéressé. Et puis, ça se fait ailleurs...
- Où?
- Je ne sais pas. Mais ça se fait. »
La question se pose est-il légal d'avoir une telle publicité, de changer notre personnalité, de promouvoir quelque chose, même si c'est pour le bien-être humain et de son état de santé, dans ce cas.
Nous avons tous une personnalité multiple. Celui que nous avions parmi notre famille, celle que nous avions dans notre travail et nous avons dû faire preuve de courtoisie, même pour les discourtois, celui que nous manifestons pour notre bien-aimé et nous essayons de briller notre image, celle que nous montrons à nos enfants et nous essayons d'être indulgent et ferme en même temps!
Différentes situations obligent les différents types d'images à adhérer.
Mais est-il utile?
C’est la question.
La réponse est simple, si nous revenons dans la littérature pour trouver si un tel comportement contribue à promouvoir des causes justes, comme l'équitation vélo pour la santé.
Je vais parler de la Lafontaine [3] fameux écrivain du France en 17eme siècle, il été connu pour ses fables ou les fables de Lafontaine. Toutes ses fables sont récitées par des animaux qui visent à donner de leçons à l'autorité de décision. Cette méthode s’avèrera une entreprise couronnée de succès à travers l'histoire et afin de ne pas être en vue directe ou attaque avec l’autorité ou le public.
“Dans le monde du web, certaines personnes utilisent une stratégie analogue… Si l’on procède en multipliant les identités, peut-on les empêcher d’entrer en collision ? »[4]
C’est quoi la bullshit, au fait, professeur ?
«Il s'agit d'un manque de considération pour ce qui est vrai et ce qui est faux.» [1]
Je vais répondre positivement à cette article, d'après mes expériences, et tant que ce n'est pas intimidant ou ne se faire pas irrévérence à une personne publique ou mutiler d'autre image. C'est pourquoi les gens sont venus par leur volonté à lire et à avoir du plaisir innocent et avoir du temps agréable tout en favorisant Bixi et les caractères imaginaires.
Comment Patrick Lagacé exprime cette façon de faire, il écrit:
« Eh bien, laissez-moi citer Harry G. Frankfurt, prof de philosophie à l'université Princeton. L'homme a écrit un livre sur - sans blague - la bullshit. En entrevue, il a eu ces paroles de sagesse:
«L'augmentation du niveau de bullshit dans la vie contemporaine s'explique par l'intensité du marketing dans la société contemporaine...»
« Dans le monde du web, certaines personnes utilisent une stratégie analogue : elles représentent différentes facettes de leur identité en créant de multiples identités numériques. … Si l’on procède en multipliant les identités, peut-on les empêcher d’entrer en collision ? »[5]
Je pense que oui.
Bixi, blogue et bullshit [1]
Écrivais par Patrick Lagacé
Cette campagne vise à promouvoir le vélo et la création de location sur le nom de vélos BIXI de la ville de Montréal. 3 cyclistes ont été les pionniers dans la gestion de cette campagne sous des noms différents en répondant aux internautes.
C'est quelques extraits qui illustrent ce sujet :
« Le public a été trompé. Jamais on n'a dit aux lecteurs du blogue, aux 1300 membres de la page Facebook d'«À vélo citoyens», aux 1400 amis de «Mélanie Gomez», qu'ils participaient à un effort de marketing souterrain
- C'est de la manipulation, ça, non?
- Le mot est gros...
- Et ces trois «personnes», qui interagissaient avec les internautes?
- C'est, dit M. Philibert, une façon de rejoindre les gens.
- Mais c'est un mensonge, ils n'existent pas!
- Si on avait fait un blogue hébergé par Stationnement de Montréal, personne n'aurait été intéressé. Et puis, ça se fait ailleurs...
- Où?
- Je ne sais pas. Mais ça se fait. »
La question se pose est-il légal d'avoir une telle publicité, de changer notre personnalité, de promouvoir quelque chose, même si c'est pour le bien-être humain et de son état de santé, dans ce cas.
Nous avons tous une personnalité multiple. Celui que nous avions parmi notre famille, celle que nous avions dans notre travail et nous avons dû faire preuve de courtoisie, même pour les discourtois, celui que nous manifestons pour notre bien-aimé et nous essayons de briller notre image, celle que nous montrons à nos enfants et nous essayons d'être indulgent et ferme en même temps!
Différentes situations obligent les différents types d'images à adhérer.
Dans ce sens je cite, « D’autres processus identitaires constituent une «
mise en scène » sociale, un « jeu de rôle ». Ces processus correspondent à la
représentation, dans un sens dramaturgique autant que politique. Chacun se
construit une sorte de « masque » pour agir en société. D’ailleurs, le terme
latin persona, signifiant « masque », est utilisé pour désigner un rôle social. »
[2]
Mais est-il utile?
C’est la question.
La réponse est simple, si nous revenons dans la littérature pour trouver si un tel comportement contribue à promouvoir des causes justes, comme l'équitation vélo pour la santé.
Je vais parler de la Lafontaine [3] fameux écrivain du France en 17eme siècle, il été connu pour ses fables ou les fables de Lafontaine. Toutes ses fables sont récitées par des animaux qui visent à donner de leçons à l'autorité de décision. Cette méthode s’avèrera une entreprise couronnée de succès à travers l'histoire et afin de ne pas être en vue directe ou attaque avec l’autorité ou le public.
“Dans le monde du web, certaines personnes utilisent une stratégie analogue… Si l’on procède en multipliant les identités, peut-on les empêcher d’entrer en collision ? »[4]
C’est quoi la bullshit, au fait, professeur ?
«Il s'agit d'un manque de considération pour ce qui est vrai et ce qui est faux.» [1]
Je vais répondre positivement à cette article, d'après mes expériences, et tant que ce n'est pas intimidant ou ne se faire pas irrévérence à une personne publique ou mutiler d'autre image. C'est pourquoi les gens sont venus par leur volonté à lire et à avoir du plaisir innocent et avoir du temps agréable tout en favorisant Bixi et les caractères imaginaires.
Comment Patrick Lagacé exprime cette façon de faire, il écrit:
« Eh bien, laissez-moi citer Harry G. Frankfurt, prof de philosophie à l'université Princeton. L'homme a écrit un livre sur - sans blague - la bullshit. En entrevue, il a eu ces paroles de sagesse:
«L'augmentation du niveau de bullshit dans la vie contemporaine s'explique par l'intensité du marketing dans la société contemporaine...»
« Dans le monde du web, certaines personnes utilisent une stratégie analogue : elles représentent différentes facettes de leur identité en créant de multiples identités numériques. … Si l’on procède en multipliant les identités, peut-on les empêcher d’entrer en collision ? »[5]
Je pense que oui.
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