Friday, October 4, 2013

L’absentéisme dans l’autorité cognitive




Le concept d’autorité cognitive a été défini par Wilson en 1983 en relation avec la confiance :

“We shall say that person A is a cognitive authority for person B with respect to sphere of interest S to the degree that what A says about questions falling within sphere S carries weight for B. ( source )” [1]

Une personne A est une autorité cognitive pour une personne B dans un domaine d’intérêt donné lorsque ce qu’exprime A possède plus de poids pour B que toutes autres assertions existantes sur le sujet. (Traduction libre)

Par l'histoire nous avons trouvé de telles autorités qui ont jouées le premier rôle dans l'acte, l’influence, le manœuvre et le contrôle de masse.

Un exemple simple sera les âges foncés "Dark Ages" et la domination du clergé en Europe puis la Révolution Industrielle et la marginalisation d'une telle autorité. 
L'obscurité contre  Jeanne d’Arc [2], qui a opposé à une telle autorité pour avoir la liberté pour sa société mais elle a été opprimée et brûlée pour se rebeller sur une telle autorité déviée.

Après centaines d'années, Le Pape Benoît XV a canonisé Jeanne le 16 mai 1920, Comme Sainte Jeanne d'Arc.


Quand il s'agit d'humain, chacun utilisera-et déviera son autorité selon son besoin, d'où l'exemple, les extrémités justifient les moyens.


Un autre exemple sera les dictatures qui ont ordonné ses nations avec une telle autorité cognitive puis leurs effondrements dus à ses injustices, par exemple, brûlure de ROM par nero [3], massacre d'Hitler [4] à ses propres personnes (je l'ai mentionné plus tôt dans une de mon blog), génocide rwandais [5]Jonestown [6], les dictatures et les abattages et les armes de produits chimiques dans le Moyen-Orient [7] , l'abattage des Cananéens [8] ,  Solar Temple [9] , Heaven's Gate [10] , etc.


Mais ce que ceci doit faire avec des médias sociaux et les web sociaux?
“All I know is just what I read in the papers, and that's an alibi for my ignorance.”
Will Rogers

« Est tout que je sais au juste ce qui je lis dedans les journaux, et c'est un alibi pour mon ignorance » (traduction libre)

Dans ce contexte on cherche pour ‘les institutions de la crédibilité’.


Premièrement c’est notre cercles de confiance, la famille, les amies, les mots à oreille, etc.

« Puis devenue les journaux envoyaient leurs reporters aux quatre coins du pays ou du monde »

Maintenant c’est la communication (orale, écrite, et par l’image). Pour quoi l’image (sans déformation) parce que c’est le plus façon objective à décrire la réalité.

 


« La perte de confiance dans les institutions »


Ce qui sait si ces médias n'étaient pas confiants ou crédibles ? Ce qui se produira alors?

Parce que selon Jim Morrison,

“Whoever controls the media, controls the mind” [11]

« Celui qui commande les médias, commande l'esprit »

peuvent les guerres avoir lieu abruptement ! Oui, et celui était le cas d'Irak. C'était la canalisation et réclamation au sujet des armes de destruction massive la cause de cette guerre. Tandis que jusqu'à maintenant ils ne les ont pas trouvées, mais ils continuent  à les cherchées!

Au lieu de cela nous observons le génocide et les corps déchirés par des bombes cultivant les innocents…


"Aujourd’hui, au début du XXIe siècle, nous voyons progressivement diminuer la confiance envers ces médias de masse (et, simultanément, envers les gouvernements) et remarquons la montée de nouvelles modalités d’interprétation de la réalité. La diminution de la circulation de la presse écrite, commencée avec la montée de la télévision, s’accélère avec l’arrivée d’Internet.

La crise actuelle des médias de masse découle de l’effritement d’une croyance culturelle auparavant plutôt solide, celle voulant qu’une information sur un évènement ne s’altère pas du tout dans sa transmission.

Jean-Louis Weissberg soutient que :

Ce qui est remarquable et nouveau dans la crise de légitimité de l’audiovisuel, ce n’est pas tant l’accumulation des scandales (fausses images de la première guerre du Golfe, interview réarrangée de Fidel Castro, images détournées du charnier de Timisoara, etc.), que le doute généralisé que suscite désormais toute image enregistrée ; doute révélateur d’une séparation croissante entre le « voir » et le «  croire ». Le pacte de conformité qui liait jusqu’à présent l’enregistrement et la chose enregistrée s’est rompu. Et la méfiance n’est pas le produit de la tromperie, mais plutôt, à l’inverse, celle-ci peut être débusquée parce que l’état de méfiance nous habite désormais.

Nous entrons dans une nouvelle société où la vérité perçue ne peut plus se limiter à la capture directe par les instruments d’enregistrement d’institutions légitimantes, monopole des riches institutions médiatiques. Weissberg ajoute que le réalisme (la correspondance du propos avec ce qui s’est passé) laisse graduellement sa place à l’incarnation de la nouvelle (la personnification du point de vue). Le vécu subjectif de l’événement serait plus crédible qu’une impossible objectivité. » [12]


Mais c’est quoi la solution ?

Je croix, à mon avis, que c’est les nouveaux créateurs de réalité, c’est le média de masse, la propagation virale de peuple, c’est la voix accéléré de lectorats eux mêmes, la créateur de la réalité dans leur terrain plus égalitaire leur peuple et leur terre.


Par example, “China feels the quake online”. [13]

Pourquoi Internet et pourquoi les blogueurs?

Puisqu'ils sont les médias, les personnes vivant la réalité, ils sont les plus crédibles et confiants avec leurs téléphones avec les appareils-photo qui capturent la réalité et donnent immédiatement au monde les faits actuels et l'injustice.



Au delà de la vérité  c’est l’absentéisme dans  l’autorité cognitive.


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