“We
shall say that person A is a cognitive authority for person B with respect to
sphere of interest S to the degree that what A says about questions falling
within sphere S carries weight for B. ( source )” [1]
Une personne A est une autorité
cognitive pour une personne B dans un domaine d’intérêt donné
lorsque ce qu’exprime A possède plus de poids pour B que toutes autres
assertions existantes sur le sujet. (Traduction libre)
Par l'histoire nous avons trouvé de
telles autorités qui ont jouées le premier rôle dans l'acte, l’influence, le manœuvre et le contrôle de masse.
Un exemple simple sera les âges foncés "Dark Ages"
et la domination du clergé en Europe puis la Révolution Industrielle et la marginalisation
d'une telle autorité.
L'obscurité contre Jeanne d’Arc [2], qui a opposé à une telle autorité pour avoir la liberté pour sa
société mais elle a été opprimée et brûlée pour se rebeller sur une telle
autorité déviée.
Après centaines d'années, Le Pape Benoît XV a canonisé Jeanne le 16 mai 1920, Comme Sainte Jeanne d'Arc.
Quand il s'agit d'humain, chacun
utilisera-et déviera son autorité selon son besoin, d'où l'exemple, les
extrémités justifient les moyens.
Un
autre exemple sera les dictatures qui ont ordonné ses nations avec une telle
autorité cognitive puis leurs effondrements dus à ses injustices, par exemple, brûlure
de ROM par nero [3], massacre d'Hitler [4] à ses propres personnes (je l'ai mentionné
plus tôt dans une de mon blog), génocide rwandais [5] , Jonestown [6], les dictatures et les
abattages et les armes de produits chimiques dans le Moyen-Orient [7] , l'abattage
des Cananéens [8] , Solar
Temple [9] , Heaven's Gate [10] , etc.
Mais ce que ceci doit faire avec des
médias sociaux et les web sociaux?
“All I know is just what I read in the papers, and that's an alibi for
my ignorance.”
― Will Rogers
― Will Rogers
« Est tout que je sais au juste ce
qui je lis dedans les journaux, et c'est un alibi pour mon ignorance » (traduction
libre)
Dans ce contexte on cherche pour ‘les institutions de la crédibilité’.
Premièrement
c’est notre cercles de confiance, la famille, les amies, les mots à oreille,
etc.
« Puis
devenue les journaux envoyaient leurs reporters aux quatre coins du pays ou du
monde »
Maintenant
c’est la communication (orale, écrite, et par l’image). Pour quoi l’image (sans
déformation) parce que c’est le plus façon objective à décrire la réalité.
« La perte de confiance dans les institutions »
Ce qui sait
si ces médias n'étaient pas confiants ou crédibles ? Ce qui se produira alors?
Parce que selon Jim Morrison,
“Whoever controls the media, controls the mind” [11]
« Celui
qui commande les médias, commande l'esprit »
peuvent les guerres avoir lieu abruptement ! Oui, et celui était le cas d'Irak.
C'était la canalisation et réclamation au sujet des armes de destruction
massive la cause de cette guerre. Tandis que jusqu'à maintenant ils ne les ont
pas trouvées, mais ils continuent à les
cherchées!
Au lieu
de cela nous observons le génocide et les corps déchirés par des bombes
cultivant les innocents…
"Aujourd’hui,
au début du XXIe siècle, nous voyons progressivement diminuer la confiance
envers ces médias de masse (et, simultanément, envers les gouvernements) et
remarquons la montée de nouvelles modalités d’interprétation de la réalité. La
diminution de la circulation de la presse écrite, commencée avec la montée de
la télévision, s’accélère avec l’arrivée d’Internet.
La
crise actuelle des médias de masse découle de l’effritement d’une croyance
culturelle auparavant plutôt solide, celle voulant qu’une information sur un
évènement ne s’altère pas du tout dans sa transmission.
Ce qui est remarquable et nouveau dans la
crise de légitimité de l’audiovisuel, ce n’est pas tant l’accumulation des scandales
(fausses images de la première guerre du Golfe, interview réarrangée de Fidel
Castro, images détournées du charnier de Timisoara, etc.), que le doute
généralisé que suscite désormais toute image enregistrée ; doute
révélateur d’une séparation croissante entre le « voir » et le
« croire ». Le pacte de conformité qui liait jusqu’à présent
l’enregistrement et la chose enregistrée s’est rompu. Et la méfiance n’est pas
le produit de la tromperie, mais plutôt, à l’inverse, celle-ci peut
être débusquée parce que l’état de méfiance nous habite désormais.
Nous entrons dans une nouvelle société où
la vérité perçue ne peut plus se limiter à la capture directe par les
instruments d’enregistrement d’institutions légitimantes, monopole des riches
institutions médiatiques. Weissberg ajoute que le réalisme (la correspondance
du propos avec ce qui s’est passé) laisse graduellement sa place à
l’incarnation de la nouvelle (la personnification du point de vue). Le vécu
subjectif de l’événement serait plus crédible qu’une impossible objectivité. » [12]
Mais c’est quoi la solution ?
Je croix, à mon avis, que c’est les nouveaux créateurs de réalité, c’est le média de masse, la propagation virale de peuple, c’est la voix accéléré de lectorats eux mêmes, la créateur de la réalité dans leur terrain plus égalitaire leur peuple et leur terre.
Par example, “China feels the quake online”. [13]
Pourquoi Internet
et pourquoi les blogueurs?
Puisqu'ils sont les médias, les personnes
vivant la réalité, ils sont les plus crédibles et confiants avec leurs
téléphones avec les appareils-photo qui capturent la réalité et donnent
immédiatement au monde les faits actuels et l'injustice.
Au delà de
la vérité c’est l’absentéisme dans l’autorité cognitive.
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